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D’après la pochette de l’album, on comprend que Joan Osborne, offre un disque moins lisse, plus varié, que ces dernières productions. Exit les reprises de standards classieuses, enveloppées de cordes qui offraient pourtant un parfait écrin à sa voix. Elles disparaissent au profit d’un songwriting plus personnel.
Osborne, originaire du Kentucky, rend ici hommage à la ville qui ne dort jamais, New York, où elle a été révélée quinze ans auparavant, où elle vit et où elle souhaite finir sa vie (le touchant « Bury Me On the Battery »). Elle le fait en exploitant son côté spirituel. En amatrice de gospel, de chants indiens, mais aussi de Qawwali (chant sacré islamique), elle donne une ferveur palpable à des titres comme « Hallelujah In The City », aux guitares vivifiantes, « Cathedral », au piano propice au recueillement ou « Can’t Say No » aux rythmes afros surprenants.
« Little Wild One », septième album d’Osborne, pourrait être sous-titré « l’album de la renaissance ». Premièrement, parce qu’au cours de sa réalisation la chanteuse est devenue mère et l’on sent qu’il s’agit là d’un thème sous-jacent. Deuxièmement, parce qu’on la retrouve entourée par le producteur Rick Chertoff, le guitariste Eric Bazilian et Robert Hyman aux claviers, soit le groupe qui avait valu à l’album Relish une renommée internationale. Même si le résultat est plus consensuel que « sauvage », il célèbre le retour de Joan Osborne en auteur contemporaine.
©Copyright Music Story 2015
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Joan Osborne, Composer, MainArtist
© 2008 Direct Holdings Americas Inc ℗ 2008 Direct Holdings Americas Inc
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Chronique
D’après la pochette de l’album, on comprend que Joan Osborne, offre un disque moins lisse, plus varié, que ces dernières productions. Exit les reprises de standards classieuses, enveloppées de cordes qui offraient pourtant un parfait écrin à sa voix. Elles disparaissent au profit d’un songwriting plus personnel.
Osborne, originaire du Kentucky, rend ici hommage à la ville qui ne dort jamais, New York, où elle a été révélée quinze ans auparavant, où elle vit et où elle souhaite finir sa vie (le touchant « Bury Me On the Battery »). Elle le fait en exploitant son côté spirituel. En amatrice de gospel, de chants indiens, mais aussi de Qawwali (chant sacré islamique), elle donne une ferveur palpable à des titres comme « Hallelujah In The City », aux guitares vivifiantes, « Cathedral », au piano propice au recueillement ou « Can’t Say No » aux rythmes afros surprenants.
« Little Wild One », septième album d’Osborne, pourrait être sous-titré « l’album de la renaissance ». Premièrement, parce qu’au cours de sa réalisation la chanteuse est devenue mère et l’on sent qu’il s’agit là d’un thème sous-jacent. Deuxièmement, parce qu’on la retrouve entourée par le producteur Rick Chertoff, le guitariste Eric Bazilian et Robert Hyman aux claviers, soit le groupe qui avait valu à l’album Relish une renommée internationale. Même si le résultat est plus consensuel que « sauvage », il célèbre le retour de Joan Osborne en auteur contemporaine.
©Copyright Music Story 2015
À propos
- 1 disque(s) - 11 piste(s)
- Durée totale : 00:43:13
- 1 Livret Numérique
- Artistes principaux : Joan Osborne
- Compositeur : Joan Osborne
- Label : StarVista Music
- Genre : Pop/Rock Pop
© 2008 Direct Holdings Americas Inc ℗ 2008 Direct Holdings Americas Inc
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