Rencontre avec la jeune pianiste géorgienne Khatia Buniatishvili à l'occasion de la sortie de son troisième album, Motherland.

La terre natale. Le pays de sa mère également. Comment comprendre ce Motherland qui sert de titre au troisième album de Khatia Buniatishvili qui parait chez Sony Classical. Pour ce nouvel enregistrement, la pianiste géorgienne ne s’est pas contentée d’un ou deux compositeurs mais d’une bonne dizaine.

Après un disque Liszt en 2011 précédé d’un disque Chopin, elle réunit ici dix-sept pièces sous ce nom de Motherland. Un album sur lequel Jean-Sébastien Bach côtoie Arvo Pärt, Tchaïkovski, Mendelssohn, Debussy, Ligeti, Brahms, Chopin, Ravel, Scarlatti, Grieg, Kancheli, Dvorak ou bien encore Haendel.

En quelques années seulement, la jeune soliste née à Tbilissi, étudiante à Vienne et parisienne d’adoption a imposé son nom sur la scène internationale. Adoubée par son idole Martha Argerich et invitée par Gidon Kremer sur deux de ses albums parus chez ECM, Khatia Buniatishvili se promène sur les scènes aux quatre coins du monde et impose un style. Elle revient sur la genèse de ce Motherland et l’évolution de sa carrière.

Khatia Buniatishvili | Qobuz Interview

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