Directeur artistique de Bee Jazz, Mohamed Gastli revient sur l’évolution du label, sa méthode de travail et ses rêves d’enregistrement.

Les labels réussissant à conserver une politique éditoriale digne de ce nom se font de plus en plus rare ; surtout en terre jazz… A l’aube de ses dix ans qu’il célèbrera fin 2013, Bee Jazz est pourtant de ceux-là. Avec une cinquantaine de références au compteur, le catalogue du label fondé par Alexandre Leforestier offre un visage cohérent, en phase avec la création jazz contemporaine. Un visage de toute beauté réunissant des personnalités musicalement aussi fortes et éclectiques que Manu Codjia, Guillaume de Chassy, Daniel Yvinec, Nelson Veras, Jozef Dumoulin, Magic Malik et bien d’autres. Nouvelles signatures régulières, suivi des artistes sur la durée, son léché et artwork raffiné ou osé, Bee Jazz tient même joliment le cap en ces temps chahutés pour l’industrie du disque. Directeur artistique de la classieuse écurie parisienne, Mohamed Gastli revient sur l’évolution du label, sa méthode de travail et ses rêves d’enregistrement.

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